jeudi 29 septembre 2011

Riz cantonnais


Petite recette en hommage à un ami qui avait pour habitude de nous proposer régulièrement du riz cantonnais surgelé lorsque nous venions manger chez lui, histoire de lui montrer que oui, le riz cantonnais, on peut le faire soi-même, et c’est franchement super bon en plus !


Voici donc une recette sympa et très rapide à réaliser, même quand on est très occupé à pouponner ! Alors mon Débile, la prochaine fois qu’on se voit, j’exige un home made riz cantonnais !


Source : le journal des femmes

Pour 4 personnes :

-          1 oignon haché
-          3 gousses d’ail écrasées
-          10 cl d’huile
-          300 g de riz
-          200 g de petites crevettes rose (je n’en ai pas utilisé cette fois-ci)
-          150 g de petits pois surgelés
-          150 g de dés de jambon
-          2 œufs
-          Un petit bouquet de ciboulette ciselée
-          Quelques branches de persil
-          Sel et poivre


Dans une grande casserole d’eau bouillante salée, faire cuire les petits pois surgelés 10 minutes. Les égoutter et les rincer à l’eau froide.

Dans une sauteuse, faire revenir dans l’huile chaude l’oignon et l’ail. Ajouter le riz et laisser frire quelques instants.

Ajouter les crevettes, les petits pois et le jambon.
Verser 60 cl d’eau bouillante.
Saler et poivrer, bien remuer et couvrir en laissant cuire à feu doux environ 10 à 12 minutes.

Faire cuire les œufs brouillés dans une poêle. Et les ajouter dans la sauteuse. Mélanger et saupoudrer de ciboulette.

Verser dans des bols, décorer de brins de persil et servir avec des baguettes pour les plus courageux/doués.

mercredi 28 septembre 2011

Cheesecake aux cookies aux Daims


Alors la recette d’aujourd’hui envoie du lourd, vous l’aurez compris !!

J’aime beaucoup le concept de l’utilisation de cookies détournée, comme par exemple dans le merveilleux brookie de Guillemette
Cela ne vous étonnera donc pas d’apprendre que cette recette est issue de mon chouchou des livres de desserts : « Desserts des jours heureux »…

Ici, les cookies sont partout et sous différentes formes, pour notre plus grand plaisir gustatif !


D’abord, ils constituent la base du cheesecake… Ils sont également présents dans la pâte, sous la forme de petites boules de pâte crue, (ce qui est, il faut l’avouer, juste mortel !), enfin, ils entourent le cheesecake et donnent ainsi à ce dernier un petit côté régressif vraiment terrible…


Et, comme trop de gourmandise ne tue pas la gourmandise, j’ai décidé de remplacer les pépites de chocolat initialement prévues dans la recette par des morceaux de Daim concassés car je suis toujours aussi désespérément fan de ces petites friandises (qui, je vous l’annonce avec beaucoup de tristesse, sont amenées à disparaître des épiceries du géant du meuble scandinave, ainsi que je l’ai appris lors de ma dernière visite/razzia de Daim… Oui, c’est un jour funèbre…)

Mais que cette triste nouvelle ne nous gâche pas le plaisir de ce cheesecake qui était absolument délicieux !


Pour les cookies :

- 120 g de beurre demi sel
- 190 g de cassonade
- 1 œuf
- 220 g de farine
- 1 cuillère à café de levure chimique
- 150 g de daims

Pour le cheesecake :

- 80 g de beurre
- 600 g de cream-cheese (Philadelphia, que l’on trouve désormais dans tous les supermarchés français)
- 100 g de sucre
- 2 œufs
- 1 gousse de vanille


Préchauffer le four à 180°C.

Préparer les cookies : mélanger le beurre et le sucre dans n saladier jusqu’a l’obtention d’une texture crémeuse, ajouter l’œuf, puis la farine additionnée de levure et les daims grossièrement concassés.
Mélanger rapidement sans trop travailler la pâte et prélever 100 g de pâte crue qui sera utilisée pour le cheese-cake inside.

Sur une plaque recouverte de papier cuisson, déposer des petites boules de la pâte restante en les aplatissant légèrement. Enfourner pour 10 minutes.
A la sortie du four, attendre qu’ils refroidissent avant de les décoller.

Préparer le cheesecake.
Faire fondre le beurre. Mixer 180 g de cookies, ajouter le beurre et donner quelques pulsions supplémentaires au mixer pour mélanger.
Etaler le mélanger dans un moule à charnière de 20 cm de diamètre environ (ayant momentanément égaré mon moule à charnière, j'ai utilisé mon moule carré Flexipan) et bien tasser à l’aide du fond d’un verre par exemple.

Dans un saladier, fouetter ensemble le cream cheese, le sucre et les œufs, ajouter les graines de vanilles après avoir fendu la gousse en deux et en avoir gratté l’intérieur.

Sortir les 100 g de pâte à cookies crue réservée, former des petites boules de pâte et les ajouter au fur et à mesure dans le mélange au cream cheese.

Verser le tout dans le moule et  et enfourner pour 45 minutes environ (le cheese-cake doit être pris mais le centre doit être encore un peu tremblotant). Eteindre le fou mais laisser le cheesecake une demi-heure dedans, porte fermée.

Le laisser ensuite refroidir complètement hors du four avant de le placer au frais 24 heures.
Démouler alors le cheesecake et décorer les bords des cookies restants en appuyant légèrement pour les faire adhérer. ..



Et parce que j'adore ce merveilleux livre de recettes, quelques Desserts des jours heureux réalisés dans la tanière:

- Cookies à la banane et aux Daim

- Petits puddings au chocolat noir ou blanc

- Financiers au miel

- Tarte au citron meringuée

- Chocolat frappé à la bergamote

- Délicieux pancakes

lundi 26 septembre 2011

Tomates et chèvre frais comme un cheesecake


Le beau temps qui semble perdurer et l’été qui joue les prolongations me poussent à continuer à vous poster mes souvenirs de recettes estivales… Souvenirs de beaux moments de partage et d’amitié… Et toujours, toujours, beaucoup de gourmandise !

La recette d’aujourd’hui est issue du Cuisine et Vins de France de cet été… Il s’agit même de la recette de la couverture qui m’a fait de l’œil, et ce, dès son arrivée dans ma boîte aux lettres (je ne remercierai jamais assez mes adorables amies qui ont eu la brillante idée de m’offrir cet abonnement il y a quelques temps déjà !)…


C’est idéal comme repas léger d’été, accompagné de salade verte et de Château Pape Clément (ça, c’est en option !!)…


Ah et j’oubliais une nouvelle capitale !! Deliciours… a pris ses quartiers sur Facebook ! Une page a été créée hier, alors n’hésitez pas à devenir fan, cela vous permettra d’être informé(e) des récentes publications, cela me fera très plaisir et vous offrira la satisfaction d’avoir œuvré pour le bien de l’humanité (au moins !).
Comme je suis une quiche en matière d’informatique et que je ne parviens pas à mettre ici un lien, je vous invite à aller rechercher la page en tapant simplement « deliciours » sur facebook…

Bon, j’arrête les hors sujets et vous donne sans plus tarder la recette de ce délicieux cheesecake salé !


Pour 6 personnes

-          6 grosses tomates
-          Huile d’olive
-          Cassonade
-          Thym frais
-          200 g de fromage de chèvre frais (Petit Billy ou chavroux)
-          150 g de fromage blanc fouetté (Madame Loïk ou Saint Moret)
-          150 g de crackers salés (Tuc par exemple)
-          60 g de beurre
-          Un bouquet de ciboulette
-          Sel et piment d’Espelette

Laver les tomates, les couper en rondelles un peu épaisses et régulières.
Préchauffer le four à 120°C.
Les déposer sur une plaque de four tapissée de papier sulfurisé.
Arroser d’un mince filet d’huile d’olive, saupoudrer de cassonade, de sel, de poivre et de thym frais.
Faire confire au four pendant deux heures puis, laisser refroidir.

Mixer les crackers avec le beurre fondu dans le bol d’un robot.
Disposer le mélange dans 6 cercles individuels et bien tasser, en s’aidant au besoin du fond d’un verre. Placer au frais le temps de préparer la suite.

Ciseler la ciboulette et la déposer dans un saladier avec les deux fromages, du sel et un peu de piment d’Espelette. Mélanger à l’aide d’une fourchette.

Monter les cheesecakes. Dans les cercles, déposer les rondelles de tomates confites, couvrir de fromage à la ciboulette et déposer à nouveau des rondelles de tomates.

Réserver au moins deux heures au frais avant de servir.

dimanche 25 septembre 2011

Pancakes du petit déjeuner, au caramel au beurre salé ou au sirop d’érable


Mmmhh… Vous publier cette recette me rappelle d’excellents souvenirs de petits déjeuners estivaux avec deux merveilleuses sœurs franc-comtoises…

Le pancake n’était pas, jusque-là, dans mes habitudes brunchesques, mais j’ai tellement adoré dévorer à plusieurs reprises ces merveilleuses petites crêpes moelleuses et parfumées, le tout arrosé de sirop d’érable ou de caramel (hum… quelle garniture choisiiiiiir ? Le choix est cornélien !), que je pense très sérieusement inscrire les pancakes à ma liste des ingrédients du parfait brunch dominical !


Cette recette est issue du fameux livre « Desserts des jours heureux » de Guillemette que je ne cesse (à raison, bien sûr !) d’encenser !
Le fait de monter les blancs d’œuf en neige confère à ces pancakes un moelleux terriblement addictif !

Quant à la garniture, c’est au choix… Le sirop d’érable est bien sûr l’accompagnement classique et idéal des pancakes, mais si l’on a le malheur de tester avec du caramel (celui qui décabane, cela va sans dire !), on se retrouve face au plus gros dilemme qui soit…  à savoir « à quelle sauce mangerai-je mon prochain pancake ?? » (testé pour vous : cela conduit à manger un nombre incalculable de pancakes en alternant sirop d’érable et caramel, jusqu’à ce que : 1) il ne reste plus aucun pancake, 2) on soit très légèrement écœuré pour le reste de la journée !)


Pour une dizaine de pancakes :

2 œufs
1 pincée de sel
40 g de sucre
Un yaourt nature (125 g)
125 g de farine
1 cuillère à café de levure chimique
125 g de lait
20 g de beurre pour la poêle

Pour l'accompagnement:

- Sirop d'érable
- Caramel en suivant cette recette


Casser les œufs et séparer les jaunes des blancs.
Monter les blancs en neige avec la pincée de sel.

Dans un saladier, battre les jaunes avec le sucre, ajouter le yaourt, mélanger à nouveau. Incorporer la farine et à levure en fouettant fort pour obtenir ne pate homogène.
Verser alors petit à petit le lait et terminer en incorporant délicatement et sans les casser les blancs en neige.

Faire fondre une noix de beurre dans une poêle. Quand elle est bien chaude, verser une petite louche de pâte au centre de la poêle et l’étaler légèrement pour obtenir un pancake d’une dizaine de cm de diamètre.

Lorsque des bulles se forment, retourner le pancake et faire dorer l’autre face.

Renouveler l’opération jusqu’à épuisement de la pâte.

Servir les pancakes arrosés de sirop d’érable ou avec un petit pot de caramel…


Si l’on souhaite donner à ces pancakes un petit côté romantique, il est possible d’utiliser un emporte pièce en forme de cœur pour percer le pancake et de remplir le vide laissé avec du caramel… Cela fait son petit effet ! (idée piochée dans Desserts des jours heureux également !)


Merci à la belle Ln, qui a été mon assistante pour la réalisation de la recette, de ces photos et lors de la dégustation!!

vendredi 23 septembre 2011

Petits pots de crème au chocolat blanc et basilic


Je continue dans la série « hauts les cœurs » et vive le bon manger pour se remonter le moral...! A ce petit jeu, le chocolat blanc se révèle excellent!

Lorsque j’ai vu en ce début d’été chez Carole d’Altergusto cette recette de petits pots de crème au chocolat blanc et basilic, j’ai su que c’était une recette pour moi (et aussi pour Anna et ma Maman qui ont successivement goûté et dégusté avec moi ces petites merveilles !)


J’adore l’utilisation du basilic dans les desserts et, bien sûr, je vis avec le chocolat blanc une très grande histoire d’amour…

Le résultat final donne des crèmes très douces et parfumées, un vrai régal qui a été unanimement apprécié !


Pour 6 à 8 petits pots :

-          40 cl de lait
-          10 cl de crème liquide entière
-          4 jaunes d’œuf
-          40 g de sucre
-          100 g de chocolat blanc pâtissier
-          Une dizaine de feuilles de basilic


Couper le chocolat en petits morceaux.

Réserver 4 cuillères à soupe de lait froid et y diluer la maïzena.
Verser le reste du lait et la crème dans une casserole. Faire chauffer sans bouillir puis couper le feu, ajouter les feuilles de basilic et laisser infuser une dizaine de minutes en couvrant la casserole.
Mixer ensuite finement le mélange.

Dans un saladier, battre les jaunes d’œuf avec le sucre jusqu’à ce que le mélange blanchisse. Ajouter la maizena diluée dans le lait froid puis verser le mélange lait-crème et basilic.
Filtrer au dessus d’une casserole pour récupérer les petits morceaux de feuilles de basilic puis faire chauffer la casserole sur feux doux en remunant sans arrêt.

Lorsque le mélange épaissit, couper le feu et verser le chocolat blanc.
Bien remuer jusqu’à ce que le chocolat ait bien fondu.

Verser dans des petits pots, couvrir les crèmes au contact avec du film étirable (pour éviter la formation d’une pellicule sur le dessus).

Conserver au frais plusieurs heures, voire, une nuit et servir décoré d’une framboise et de quelques feuilles de basilic.



mercredi 21 septembre 2011

Tartelettes à la praline rose


Me voici de retour après près de 15 jours d’absence… Une période d’absence riche et intense en émotions de toutes sortes… Beaucoup de joie, de retrouvailles, de rires, de beaux et bons moments, mais aussi des larmes et de la tristesse… La vie est tout en contrastes qui peuvent parfois s’avérer brutaux… Cette semaine qui vient de s’écouler en est un exemple frappant…

De retour dans le quotidien, loin de ma famille que j’ai eu de la peine à quitter, j’essaye comme à mon habitude de voir la vie en rose et le souvenir de ces délicieuses tartelettes à la couleur gourmande et girly m’y aide assurément !


Petit clin d’œil donc à ma Bisontine préférée avec laquelle j’ai réalisé des tartelettes semblables il y a pile une semaine, en souvenir nostalgique de nos années lyonnaises au cours desquelles la tartelette à la praline se classait en tête des douceurs remonte-moral face à l’ampleur de nos révisions de partiels !


Alors, pour reprendre une expression qui m’est chère ; « hauts les cœurs » et gloire à la praline rose !


Pour 8 à 10 tartelettes (selon la taille des moules)

-          240 g de farine
-          120 g de beurre demi sel mou
-          80 g de sucre glace
-          40 g de poudre d’amande
-          1 œuf battu
-          250 g de pralines roses concassées
-          25 cl de crème liquide

Préparer la pate sucrée (Source: Chocolat et caetera de Guillemette, que j'affectionne toujours autant!)

Mélanger dans un saladier la farine, le sucre glace et la poudre d’amande. Ajouter le beurre coupé en morceaux et travailler la pâte du bout des doigts jusqu’à l’obtention d’une pate sableuse. Ajouter alors l’œuf et mélanger rapidement pour ensuite former une boule de pâte. L’aplatir légèrement, la filmer et la laisser reposer une à deux heures au frais.

Préchauffer le four à 180°C, sortir la pâte du frigo et l’étaler assez finement entre deux feuilles de papier sulfurisé.
Découper des cercles de pâte d’un diamètre supérieur à celui des moules à tartelettes et les déposer dans ces derniers.
Piquer régulièrement les fonds de tarte à l’aide d’une fourchette, et faire cuire 10 minutes (il est possible d’utiliser des fruits secs pour la cuisson à blanc).

Préparer la garniture

Dans une casserole, faire chauffer la crème et les pralines concassées. Quand le mélange bout, laisser cuire environ 10 à 15 minutes en remuant régulièrement.
Verser alors sur les fonds de tarte précuits et remettre au four 10 minutes eviron.

Laisser refroidir.



D'autres délicieuses et irresistibles tartelettes sucrées...






jeudi 8 septembre 2011

Crème de betterave au vinaigre balsamique et sa quenelle de chèvre frais


Petit clin d’œil à ma déjà-mais-aussi-très-future belle-sœur (oui oui, cette appelation est possible!) qui m’a transmis lors d’un atelier cooking-before-wedding cette délicieuse recette aux jolies couleurs et au goût très frais et délicat.

De retour chez moi, je me suis empressée de la réaliser à nouveau et y’a pas à dire, j’adore !


A noter que la quenelle de chèvre est très importante (on ne le répétera jamais assez !) car elle fait toute la différence et apporte une touche so precious à cette petite entrée estivale et transforme ce petit mets simple et rapide en un plat très raffiné, à l’image de la future mariée !


Pour 4 à 6 personnes (selon les contenants choisis)

- 500 g de betterave cuite sous vide
- 20 cl de crème légère
- 5 à 6 cuillères à soupe de vinaigre balsamique
- 150 g de chèvre frais (type Petit Billy)
- 1 trait d’huile d’olive
- Sel et poivre du moulin
- un bouquet de ciboulette

Préparer la crème de betterave.
Dans le bol d’un mixer, déposer les betteraves détaillées en morceaux avec 15 cl de crème.
Mixer et ajouter le vinaigre balsamique. Mixer à nouveau jusqu’à l’obtention d’un mélange homogène. Saler et poivrer et réserver au frais.

Préparer the quenelle.

Dans un bol, fouetter ensemble le chèvre, le reste de crème et un filet d’huile d’olive pour bien détendre le tout. Ajouter la ciboulette ciselée et assaisonner.

Présentation :
Dans des verrines ou bodegas, verser la crème de betterave bien fraiche, et, à l’aide de deux cuillères à café, façonner une jolie et distinguée petite quenelle de chèvre frais. La déposer avec grâce et délicatesse sur la crème de betterave. Parsemer de quelques brins de ciboulette et de crème de balsamique par exemple.

Servir bien frais.


mardi 6 septembre 2011

Financiers au Carambar


Voici une petite recette rapide et délicieuse, idéale pour écouler quelques blancs d’œuf…
J’ai trouvé l’inspiration dans le petit livre de recette de la collection « les tout-petits de Marabout » consacré au Carambar que m’a récemment offert ma Maman…

Sans grande surprise, c’est très bon bien sûr, mais entre les financiers que j’adore et les carambars que j’aime tout autant, je ne prenais pas de trop grands risques !!


Pour 6 financiers

-          4 Carambar
-          3 à 4 cuillères à soupe de crème liquide
-          50 g de farine
-          3 blancs d’œuf
-          100 g de sucre glace
-          80 g d’amande en poudre
-          100 g de beurre demi sel

Mélanger la farine, le sucre glace et la poudre d’amande. Verser les blancs et mélanger.
Faire roussir le beurre dans une casserole puis l’ajouter au précédent mélange.

Remplir aux ¾ les moules à financier (j’utilise mes moules à cakes individuels).

Préchauffer le four à 210°C.

Dans une casserole, faire fondre les carambars avec la crème puis mettre une petite cuillérée de ce mélange au centre de chacun des financiers.

Enfourner et cuire pendant 15 minutes environ, jusqu’à ce que les financiers soient dorés.


Et comme, depuis le temps que je vous propose des recettes au carambar, je ne vous ai jamais fait la joie et le plaisir de vous lire une des blagues découvertes dans les papiers des carambars utilisés dans mes recettes, je mets aujourd’hui fin à cette injustice en vous offrant la blague que je proclame la plus pourrie de toutes celles lues lors de la réalisation de ces financiers… Attention, y’a du lourd !

Alors, dans la catégorie « les blagues en short » (déjà, on se doute que c’est mal barré !)
«  Quel est le sport préféré des matous ? Réponse : Le chat balle (Chabal) »… Et là, moi je dis « non mais les gars inventeurs de blagues carambar… franchement quoi !! »


lundi 5 septembre 2011

Tiramisu façon banoffee


... Ou de la tuerie en verrine !!

Quel plaisir pour moi de vous présenter cette recette qui a encore plus de saveur à mes yeux car elle a été pensée, réalisée et dégustée sur mon île paradis… Ce petit bout d’île perdu dans l’Atlantique qui représente tant de choses pour moi… Cet endroit envoûtant, ensorcelant qui ne peut laisser personne indifférent…

Lorsque je suis là-bas, j’ai le sentiment d’être bien, tout simplement… ça semble si simple mais ça veut dire tellement !


Toujours est-il que les jours passés là-bas ne sont généralement pas synonymes de grande cuisine puisque nous nous contentons souvent de barbecues de poisson et de pique-niques improvisés avec les légumes de l’île, un peu de charcuterie et du poisson, tout ça accompagné du meilleur pain du monde généreusement tartiné de beurre salé…

Mais une fois n’est pas coutume, des amis venant nous rendre visite pour le week-end, je me suis lancée dans l’improvisation d’un dessert… et, sans doute motivée par le succès du dernier en date, j’ai eu envie de réaliser un autre petit tiramisu bien gourmand…


Dans ma tête, je voyais du lourd en termes de parfums… Confiture de lait, car c’est juste mortel… banane, histoire de dire qu’il y a des fruits dedans, pour garder bonne conscience (enfin, un peu !) et sablés émiettés, parce que j’en avais envie tout simplement…

C’est plus tard, lors de la dégustation, que j’ai réalisé que j’avais réuni, sans m’en rendre compte, tous les ingrédients du banoffee, dessert cher à mon cœur et à mes papilles…


Et, bien sûr, c’était absolument délicieux !!! Une tuerie, tout simplement !!

Ici encore, le mascarpone est mélangé à du fromage blanc car nous n’avions pas de batteur à œuf sous la main pour intégrer les œufs généralement utilisés dans les recettes de tiramisu… mais c’était franchement délicieux, et peut-être un poil plus léger (et quand on voit ce qui accompagnait le mascarpone, on se dit que c’était pas du luxe de l’alléger un peu !)


Pour 6 verrines de tiramisu mortel qui déchire :

-          Une boite de lait concentré sucré
-          2 bananes
-          Le jus d’un demi-citron
-          250 g de mascarpone
-          150 g de fromage blanc
-          25 g de sucre en poudre
-          10 biscuits sablés (ici des Sprits, c’était parfait)

Préparer d’abord la confiture de lait en utilisant la méthode inavouable avouée ici. Déposer la boite dans une cocotte minute avec un fond d’eau et faire cuire 30 minutes. Laisser refroidir complètement la boite avant de l’ouvrir et y plonger une cuillère pour vérifier que c’est réussi…

Verdict: c'est réussi!!

Couper les bananes en rondelles et les citronner pour éviter qu’elles ne noircissent.

Dans un saladier, battre ensemble le mascarpone, le fromage blanc, le sucre et une grosse cuillère à café de confiture de lait.

Émietter les sablés avec les doigts et réserver.

Procéder au dressage :

Dans 6 verres, disposer les biscuits émiettés. Ajouter une cuillère à café généreuse de confiture de lait, puis une couche de mascarpone.
Disposer les rondelles de bananes puis recouvrir à nouveau de mascarpone.

Décorer de quelques rondelles de banane, d’une pointe de confiture de lait et de quelques miettes de biscuit.

Réserver au frais jusqu’au moment de servir.


Et comme je suis définitivement et irrémédiablement amoureuse de cette île dont je vous parle, je ne résiste pas à l’envie de vous la faire découvrir à travers ces quelques clichés…