jeudi 26 avril 2012

Croques Basques


Avec cette recette, je déclare solennellement que ces croque-monsieur sont, et de loin dans mon cœur, the BEST croque-monsieur EVEEEER !!!


Ok, mon jugement est peut-être légèrement affecté par mon addiction pour l’association Ossau-Iraty/ cerise noire (pour en avoir une preuve, voir cette merveilleuse recette), mais je suis dingue de ce duo !

Aussi, lors de la dernière session croque-monsieur de la Tanière, j’ai eu très envie de tester une version basque en réunissant tous les ingrédients que je chéris en « Basquerie » : fromage de brebis, confiture de cerise noire, piment d’Espelette et jambon de Bayonne…


Cela va sans dire, ça déchire tout !
Quel bonheur de croquer dans le pain de mie doré et croustillant, et de découvrir la délicieuse saveur du jambon et du brebis, contrastant la pointe sucrée de la confiture…

Bref, je suis folle de ces croques, et, avec cette recette que je vous propose, j’espère que vous aussi deviendrez « addict » !


Pour 6 croque-monsieur :

-          12 tranches de pain de mie nature
-          6 petites tranches de jambon de Bayonne
-          Un petit pot de confiture de cerise noire
-          175 g de fromage Ossau-Iraty
-          50 g de gruyère râpé
-          Piment d’Espelette
-          Beurre salé à température ambiante

Couper le fromage de brebis en fines lamelles.
Tartiner chaque tranche de pain de mie avec le beurre.

Sur le côté non beurré de six d’entres elles, répartir des lamelles de brebis.
Déposer une belle cuillère à café de confiture
Disposer une tranche de jambon.
Saupoudrer de piment et de gruyère râpé.
Refermer avec une autre tranche de pain de mie, côté beurré à l’extérieur.

Passer quelques minutes dans un appareil à croque-monsieur bien chaud et déguster immédiatement, accompagné de salade.


mercredi 25 avril 2012

Cookies au chocolat au lait, citron & gingembre


Après le cookie géant et les cookies salés, revenons à des cookies plus classiques… Quoique ! Voici une version originale mais très savoureuse et qui fut approuvée, adoptée et dévorée !


Citron vert et gingembre apportent une touche fraiche et délicate à ces cookies, et le chocolat au lait se marie à merveille avec ces saveurs.


Pour l’inspiration, sans surprise (je songe à prendre des parts dans le livre si un jour il est côté en bourse !), c’est « Dessert des jours heureux » de Guillemette qui m’a soufflé cette recette gourmande !


Pour 30 cookies

-          120 g de beurre demi-sel à température ambiante
-          220 g de farine
-          200 g de cassonade
-          1 cuillère à soupe de levure
-          1 œuf
-          Le zeste râpé d’un citron vert
-          ½ cuillère à café de gingembre en poudre
-          150 g de chocolat au lait concassé (ma cloche de Pâques s’est révélée parfaite pour ce rôle !)

Préchauffer le four à 180°C.
Dans un saladier mélanger le beurre, les zestes, le gingembre et la cassonade jusqu’à ce que la texture soit crémeuse.
Incorporer l’œuf et mélanger.
Ajouter alors la farine, la levure et le chocolat au lait ensemble. Mélanger assez rapidement.

Sur une plaque recouverte de papier cuisson, déposer des petites boules de pâte en les espaçant (elles vont s’étaler). Les aplatir légèrement.

Enfourner pour 10 minutes. A la sortie du four, les laisser refroidir un peu avant de les décoller.

mardi 24 avril 2012

Roulés de viande des Grisons au chèvre & roquette


Petite idée rapide et sympa, à déguster du bout des doigts, lors d’un apéro ou en guise d’entrée gourmande accompagnée de salade.


C’est frais et délicieux, réalisable en 3 minutes chrono… Bref, c’est une recette comme je les aime !

Source : Oui Chef !

Pour 10 roulés :

-          10 tranches de viande des Grisons
-          2 pots de chèvre frais (type Chavroux)
-          1 bouquet de ciboulette fraîche
-          1 grosse poignée de roquette
-          Huile d’olive
-          Poivre (surtout pas de sel, le chèvre sale suffisamment)

Mixer grossièrement la ciboulette et la roquette.
Dans un saladier, écraser le fromage de chèvre à la fourchette avec un filet d’huile d’olive et du poivre.
Ajouter le mélange ciboulette-roquette et bien incorporer au chèvre.

Tartiner chaque tranche de viande des Grisons de farce et rouler délicatement.
Fermer avec un brin de ciboulette et servir.




lundi 23 avril 2012

Velouté de radis noir


Etant donné la météo de ces derniers jours, je pense qu’un petit velouté nous réchauffera… Et m’est avis qu’un peu de chaleur nous ferait du bien !

Heureusement, j’ai ce qu’il vous faut ; un velouté délicieux, au goût délicat et à l’onctuosité parfaite… Une façon originale et gourmande de manger du radis noir.


Ne craignez pas une quelconque amertume, c’est un velouté très doux, en partie grâce à la pomme de terre et au Kiri et surtout, c’est délicieux…

Inspiration : Marmiton

Pour 4 petits bols :

-          1 beau radis noir
-          1 pomme de terre (ou deux petites)
-          20 g de beurre
-          75 cl de bouillon de volaille
-          2 Kiri ou Vache qui rit
-          1 belle cuillère à soupe de crème
-          Sel, poivre et un peu de muscade


Eplucher et couper en dés le radis et la pomme de terre.
Dans une casserole, les faire revenir quelques minutes dans le beurre, puis ajouter le bouillon. Couvrir et laisser cuire 20 à 30 minutes à feu doux (tester la cuisson en plantant la pointe d’un couteau dans un cube de légume).

Lorsque les légumes sont fondants, ajouter le fromage, la crème, assaisonner et mixer, jusqu’à l’obtention d’une texture veloutée.

Servir décoré de bâtonnets de radis rose par exemple.



jeudi 19 avril 2012

Profiteroles


Dans le genre pas difficile à faire mais qui en jette carrément quand on le présente à ses goûteurs et qui est délicieux, au point d’en lécher son assiette, voici les profiteroles !

J’avais une petite appréhension à me lancer, un peu effrayée par le passage obligatoire par la case « pâte à choux »… mais d’une, mis à part ça, c’est quand même franchement pas compliqué comme dessert, et de deux, même les choux sont faciles à faire, si on a une bonne recette fiable…


Comme j’adore le fameux proverbe « on ne change pas une équipe qui gagne », j’ai décidé de faire confiance à ma bible chouchou « Desserts des jours heureux » qui propose une recette toute simple et fameuse…


Du coup, je n’ai plus peur des profiteroles et je compte en refaire souvent car c’est quand même archi délicieux ces petites choses-là !


Pour 6 personnes (3 profiteroles par personne)

Pour la pâte à choux

-          65 g d’eau
-          60 g de lait
-          40 g de beurre demi sel
-          20 g de sucre
-          75 g de farine
-          2 œufs

Pour le reste !

-          1 litre de bonne glace à la vanille
-          120 g de chocolat noir
-          120 g de crème liquide
-          Chantilly (facultatif)

Préparer la pâte à choux.

Faire chauffer dans une casserole l’eau et le lait avec le beurre coupé en morceau et le sucre.
Lorsque cela bout, couper le feu et verser en une seule fois la farine.
Bien mélanger avec une cuillère en bois, la pâte doit se détacher du bord de la casserole.
Au besoin, remettre sur le feu en remuant pour bien assécher la pâte.
Ajouter les œufs un à un en remuant bien.

Préchauffer le four à 200°C et déposer sur une plaque à pâtisserie des petites tas de pâte à l’aide de deux petites cuillères.

Enfourner pendant 20 minutes environ, jusqu’à ce qu’ils soient bien dorés et les laisser 5 minutes dans le four éteint porte fermée avant de les sortir.

Au moment de servir, préparer la sauce au chocolat.
Casser le chocolat en morceaux et le réserver.
Dans une casserole, faire bouillir la crème. Couper le feu et verser le chocolat concassé. Bien mélanger pour obtenir une ganache lisse et homogène.

Sortir la glace.

Couper les choux en deux et les garnir de glace à la vanille.
En déposer 3 par assiette et les recouvrir de sauce au chocolat et, pour les plus gourmands, de chantilly.

Servir aussitôt.


mercredi 18 avril 2012

Cœurs de ravioles thaï à la dorade, émulsion coco-citron vert


... Ou quand Yummy Magazine m’inspire à nouveau avec gourmandise !

Souvenez-vous, j’avais déjà raconté un récent essai culinaire inspiré par le numéro 7 de Yummy magazine… Ce numéro m’a particulièrement plu et j’y ai pioché une autre merveilleuse recette franchement délicieuse…


Il était temps de vous en parler car le numéro 8 de Yummy est sorti il y a peu ! Pas de recette Deliciours dans celui-ci mais encore 1000 idées très gourmandes !

De plus, désormais, et depuis cette recette, la pâte à raviolis chinois ne me fait pas peur, je la maîtrise !


Pour 24 ravioles :

Pour les ravioles de dorade :

250 g de filet de dorade
6 tiges de coriandre
1 oignon nouveau
10 feuilles de basilic thaï
1 morceau de gingembre frais
1/2 c. à café de piment d’Espelette
2 c. à soupe d’huile d’olive
1 c. à café de nuoc-mâm
48 carrés de pâte à raviolis chinois
(Won Ton)
1 œuf battu

Pour l’émulsion coco-citron vert:

250 ml de crème de coco
2 citrons verts
2 c. à café de fumet de poisson déshydraté
1 blanc d’œuf

Couper les filets de dorade en tout petits dés.
Les déposer dans un saladier.
 Ajouter l’oignon nouveau émincé très finement, la coriandre et le basilic thaï ciselés ainsi que le gingembre râpé et le piment.
Arroser avec l’huile d’olive et le nuoc-mâm et bien mélanger. Laisser mariner au frais pendant 1 heure.

Placer 24 carrés de pâte à raviolis chinois sur le plan de travail.
Disposer 1 cuillerée de préparation à la daurade au milieu de chacun.


Badigeonner le pourtour d’œuf battu et déposer un autre carré de pâte dessus.


Appuyer tout autour de la farce pour sceller les deux pâtes. Découper à l’aide d’un emporte-pièce (je me suis amusée sur certains à utiliser un emporte-pièce cœur, mais un emporte pièce rond va aussi très bien !). Réserver.


Faire bouillir la crème de coco avec le jus des citrons verts. Ajouter le fumet de poisson. Rectifier l’assaisonnement en sel et poivre. Garder au chaud.

Cuire les ravioles pendant 4 minutes dans un bouillon (la recette initiale prévoit une cuisson vapeur, mais je n’ai pas les moyens logistiques pour !).
Pendant ce temps, ajouter le blanc d’œuf dans la sauce coco/citron vert et émulsionner au mixer pour obtenir une mousse.

Dresser les ravioles sur assiette, napper de l’émulsion et parsemer de coriandre ciselée.


lundi 16 avril 2012

Cookies aux noix, chorizo, olives noires et parmesan


Et pourquoi les cookies devraient-ils être relégués au plan sucré ? Ils se défendent pourtant merveilleusement bien en salé !?

Voici une recette que je réalise depuis longtemps, depuis que je l’ai découverte chez Cess et que j’adore !


Très savoureux, avec un mélange parfait entre les olives, les noix, le chorizo et la saveur de parmesan, ils sont parfaits pour l’apéro et se grignotent sans faim !

Une fois testés, ils ne vous quitteront plus (enfin, si, momentanément, si vous les mangez tous, mais vous aurez à nouveau très envie d’en refaire !).


Pour 16 cookies :

180 g de farine
100 g de parmesan râpé
½ sachet de levure
100 g de beurre froid
1 œuf battu
50 g d’olives noires dénoyautées
50 g de chorizo
50 g de noix

Détailler les olives et le chorizo en petits dés. Casser les noix en morceaux.

Préchauffer le four à 150°C.

Mélanger ensemble la farine, la levure et le parmesan. Ajouter le beurre coupé en morceaux et sabler avec les doigts.
Ajouter l’œuf battu, puis les olives, les noix et le chorizo.

Bien mélanger et former une boule.

La diviser en deux, puis chaque moitié en deux et ainsi de suite (8 fois en tout !), jusqu’à l’obtention de 16 petites boules.

Les déposer sur une plaque recouverte de papier cuisson et les aplatir légèrement (car ils ne vont pas s’étaler lors de la cuisson).

Les enfourner pour 20 minutes environ.


jeudi 5 avril 2012

Cheesecake chocolat blanc & myrtille


Argghh !! Mon addiction pour le cheesecake est déjà bien connue, mais elle vient de franchir un pallier supplémentaire sur l’échelle de la « fan attitude » avec ce merveilleux cheesecake !!

J’ai trouvé cette fantastique recette chez les gourmandises de titenoon et je dois dire qu’elle est parfaite !


A la différence de mes précédentes versions, celle-ci cuit dans un four un peu moins chaud, et cela donne une texture fabuleuse… Dense toujours mais fondante… Avec un délicat goût de chocolat blanc irrésistible… Et avec le coulis de myrtille, c’est à tomber !


Depuis ce cheesecake, j’ai testé une version à la mûre, aussi délicieuse… Je crois que je vais avoir du mal à changer de recette désormais !


J’ai gardé mes proportions de base biscuitée, c’est donc un petit mix de deux recettes que je vous propose ici…

Attention, véritable tuerie !


Pour un beau cheesecake de 8 personnes

300  de biscuits (fifty-fifty Spéculoos et Roudor)
50 g de beurre fondu

600 g de fromage frais Philadelphia
200 g de crème fraîche épaisse légère
360 g de chocolat blanc pâtissier
1 CàS de Maïzena (10 g)
60 g de sucre
2 œufs

250 g de myrtilles surgelées
50 g de sucre glace

Préparer le coulis de myrtille

Faire chauffer à feu doux dans une casserole pendant une dizaine de minutes les myrtilles avec le sucre glace.
Mixer finement et filtrer pour éliminer les petites graines. Réserver.

Préparer la base biscuitée.

Mixer les biscuits en ajoutant le beurre fondu.
Verser le mélange dans un cercle à pâtisserie de 18 cm de diamètre beurré et posé sur une plaque à pâtisserie couverte de papier cuisson.
Tasser les miettes sur le fond et sur les côtés à l'aide du fond d'un verre.
Placer au frais le temps de préparer la suite.

Préparer l’appareil au chocolat blanc.
Dans une casserole, faire fondre à feu doux le chocolat cassé en morceaux avec la crème fraîche.
Pendant ce temps, battre le fromage frais avec le sucre jusqu'à ce que le mélange soit bien lisse. Ajouter les œufs un à un en mélangeant bien entre chaque ajout, et terminer par la maïzena.
Ajouter alors le chocolat fondu avec la crème et bien mélanger pour obtenir une masse lisse et homogène.

Préchauffer le four à 150°C.

Sortir le fond de biscuit, disposer la moitié de l’appareil au chocolat blanc. 
Verser un filet de coulis de myrtille, et, éventuellement, quelques myrtilles entières.
Recouvrir du reste de crème. (Il me reste, avec ces proportions, un peu d'appareil, je le fais cuire dans des petits ramequins avec du coulis, une trentaines de minutes, pour obtenir des minicheesecakes sans croûte biscuitée, et c'est trop bon!).

A l’aide d’un peu de coulis et d’un cure-dent, faire un joli dessin (ou pas !).

Enfourner pour une heure. Passé ce temps, éteindre le four et laisser refroidir le cheesecake dans le four éteint, porte légèrement entrouverte.

Une fois refroidi, le placer au frais pour 24 heures.

Déguster frais, arrosé de coulis de myrtille… Un vrai régal !!