lundi 29 avril 2013

Panna cotta au citron et fruits rouges de Christophe Michalak



J’aime beaucoup les panna cottas, leur simplicité, rapidité, diversité et gourmandise…

Avec l’arrivée des fraises printanières, j’ai eu envie de tester une recette présentée par Christophe Michalak dans son livre « Les desserts qui me font craquer »…

Mais qui dit dessert trouvé dans le livre d’un champion du monde de la pâtisserie dit recette un peu plus contraignante en terme de préparation que mes recettes de panna cotta de flemmarde !

Avec cette recette, j’ai donc filtré et mixé ma préparation, chose que je ne fais jamais d’habitude, et j’ai également découvert le jus de cuisson ; technique inconnue jusqu’alors pour obtenir un coulis de fraises…


Le résultat est un dessert très frais, fruité et gourmand qui a ici beaucoup plu !

Et avant de vous livrer cette recette, sans aucun lien avec la cuisine mais parce qu’elle fait partie de mon quotidien, j’aimerai vous faire découvrir un petit montage réalisé ce week-end pour présenter notre compagnon canin tellement marrant et exceptionnel !!


Mais sans plus tarder, la recette de ces fabuleuses panna cottas!!!!


Pour 4 personnes

- 55 cl de crème entière liquide
- 85 g de sucre
- 3 feuilles de gélatine (6g)
- le zeste de 2 citrons jaunes
- 200 g de fraises + 50 g
- 25 g de sucre
- 50 g de framboises
- 50 g de mûres

Préparer le jus de cuisson :

Equeuter et couper les 200 g de fraises en deux.
Les placer dans un saladier avec les 25 g de sucre. Recouvrir d’un film plastique  et percer avec la pointe d’un couteau pour éviter que ça ne gonfle avec la chaleur.
Placer ensuite au bain marie sur une eau frémissante et laisser cuire pendant 30 minutes environ. Transvaser ensuite dans un tamis et laisser s’écouler le jus tranquillement.

Préparer les panna cottas au citron :

Faire frémir la crème dans une casserole puis couper le feu. Ajouter les zestes et couvrir d’un film et laisser infuser 30 minutes. Puis filtrer.
Porter à nouveau à frémissement, ajouter le sucre et les feuilles de gélatine préalablement ramollies dans l’eau froide.
Mixer pour obtenir une texture lisse.
Verser dans des verrines et laisser prendre au moins 1 heure au frais.

Lier le reste des fruits rouges avec le jus de cuisson et déposer sur les crèmes.


samedi 27 avril 2013

Blondie aux pépites de fruit et pâte d’amande



Depuis que je les ai découverts, je suis une fan absolue des blondies ! J’adore ces délicieux petits carrés gourmands et fondants, plein de saveurs et que l’on peut décliner à l’infini selon ses goûts et envies…

Ayant dans mes placards des petits dés de fruits jaunes séchés (pêche, poire et banane), j’ai eu envie de les utiliser pour une nouvelle version gourmande de blondie, en y ajoutant de la pâte d’amande pour un résultat fondant, et des amandes effilées pour un peu de croquant…


C’était encore une fois une pure merveille !

Si vous n’avez pas des petites pépites de fruits, vous pouvez utiliser des fruits séchés coupés en petits morceaux (abricot, cranberries, ananas) ou des pépites de chocolat…


Pour 16 carrés de blondie

-       100 g de beurre demi sel mou
-       180 g de cassonade
-       1 œuf
-       130 g de farine
-       100 g de pâte d’amande blanche
-       100 g de pépites de fruits séchés
-       75 g d’amandes effilées

Préchauffer le four à 180°C.

Dans un saladier, fouetter ensemble le sucre et le beurre mou jusqu’à ce que le mélange devienne crémeux. Ajouter l’œuf et fouetter encore quelques minutes.

Ajouter alors la farine, les dés de fruits, les amandes et la pâte d’amande coupée grossièrement en dés. Mélanger rapidement sans trop travailler la pâte.

La verser dans un moule carré de 20 cm de côté et enfourner pour 20 minutes environ.

Laisser refroidir complètement (idéalement, il est bon de le placer au frais) avant de couper en carrés.





mercredi 24 avril 2013

Cake au chocolat blanc, cerises amarena et fève de tonka



Découverte chez Mamina il y a fort longtemps, cette recette est longtemps restée un fantasme culinaire, tant que je n’avais pas en ma possession les fameuses cerises amarena (j’en parle ici) qui me faisaient rêver…


Lorsque je les ai enfin trouvées, j’ai alors pu assouvir cette envie de cerise, chocolat blanc et fève de tonka, tous trois réunis sous la forme d’un cake un peu dense et très parfumé…


En réalité, mis à part la forme, ce n’est pas vraiment un cake car c’est plus consistant, en raison notamment de la forte concentration de chocolat blanc (on voit sur certaines photos la marque laissée par le couteau). Mais il est vrai que tous les ingrédients se marient à merveille !


Pour un cake

-       300 g de chocolat blanc
-       100 g de beurre demi sel
-       75 g de sucre
-       3 œufs
-       150 g de farine
-       1 fève de tonka râpée
-       150 g de cerises amarena avec leur sirop

Préchauffer le four à 160°C.
Faire fondre ensemble le chocolat blanc et le beurre au micro ondes ou au bain-marie.
Dans le bol d’un robot (version flemme !), battre les œufs et le sucre.
Verser le mélange de chocolat fondu et mélanger à nouveau, avant d’ajouter la farine en pluie et la fève de tonka râpée.
Quand le mélange est homogène, incorporer à la spatule, les cerises et leur sirop.

Verser dans un moule à cake en silicone ou beurré et enfourner.
Au bout de 15 minutes, monter la température du four à 180°C et poursuivre la cuisson 30 minutes.

Laisser refroidir avant de démouler.

             

lundi 22 avril 2013

Taboulé de quinoa



Parce que les jours rallongent, preuve indéniable de l’arrivée des beaux jours, et parce que j’appelle le soleil de tous mes vœux, voici une parfaite petite recette fraicheur qui colle parfaitement au thème du printemps.


Il s’agit d’une recette que m’a transmise Chef Jésus lors de mon cours de cuisine chez lui et, comme toutes ses recettes, gages de réussite, celle-ci est particulièrement savoureuse !


J’adore le quinoa en salade, comme en atteste cette fabuleuse recette et ici encore, il se révèle parfait ; frais mais plein de saveur et il sa marie à merveille avec tous les petits légumes de ce fabuleux taboulé !


- 1 échalote
- 1 oignon rouge
- 1 petite courgette
- 2 verres de quinoa
- 1 cube de bouillon aux légumes
- 1 concombre
- 8 tomates séchées
- Une dizaine de radis
- 2 tomates
- 1 cuillère à soupe de pistaches
- 2 citrons
- Ciboulette et persil

Couper la courgette lavée et séchée en petits dés et la faire revenir dans une sauteuse ou un wok dans un mélange de beurre et d’huile d’olive.
A la fin de la cuisson, ajouter l’oignon et l’échalote émincés et couper le feu.
Verser alors deux verres de quinoa, arroser à nouveau d’huile d’olive et remuer.

Rallumer le feu et ajouter 4 verres d’eau et le bouillon. Porter à ébullition en remuant, saler très légèrement et poivrer.

Couvrir et laisser gonfler à feu doux pendant 20 minutes environ.

Pendant ce temps, préparer les légumes :

- Peler le concombre et le couper en brunoise.
- Peler les tomates et les couper en dés.
- Couper les radis en fines lamelles.
- Couper les tomates séchées en petits morceaux.
- Ecraser les pistaches grossièrement.
- Peler le citron à vif, récupérer les quartiers et les couper en dés.

Réunir le tout dans un saladier et ajouter les herbes fraiches ciselées.

Quand le quinoa est cuit et refroidi, le verser sur les légumes.

Déguster frais ou à température ambiante. (Chef Jésus propose de servir avec une tranche de saumon fumé, ce qui doit être bien sympa aussi !)

 


samedi 13 avril 2013

Petites pavlovas aux fraises et à la confiture de lait



Avec le soleil que semble s’installer pour le week-end, voici le temps des recettes printanières… Et pour cela, que diriez-vous d’une jolie pavlova délicieusement garnie de fraises charnues et légèrement agrémentée de confiture de lait pour toujours plus de gourmandise ?


Je n’avais encore jamais réalisé ce dessert, pourtant, ça me faisait envie depuis un moment… L’ours de la tanière étant très réfractaire à la meringue, j’ai choisi d’en réaliser lors d’une de ses absences (mais vu que je parviens de plus en plus à lui faire manger du chocolat blanc, je ne désespère pas de guérir son aversion pour la meringue !)

Alors je vous conseille à tous d’essayer cette délicieuse recette printanière, très facile à faire et fabuleuse à déguster !


Source : Desserts des jours heureux

Pour 4 pavlovas individuelles

Pour les meringues

- 2 blancs d’œuf
- 35 g de sucre en poudre
- 35 g de sucre glace

Pour la garniture

- Une barquette de fraises
- 150 g de crème liquide très froide
- Une cuillère à café de cacao non sucré
- 30 g de sucre glace
- 4 cuillères de confiture de lait
- décoration sucrée

Préchauffer le four à 100°C et préparer les meringues.
Monter les blancs en neige en incorporant petit à petit le sucre en poudre. Ajouter ensuite, tout en continuant à battre le sucre glace, cuillère par cuillère jusqu’à l’obtention d’un mélange bien ferme.
Etaler 4 disques de la préparation sur une plaque de cuissons recouverte de papier et creuser légèrement le milieu.
Enfourner pour une heure puis, éteindre le four et y laisser les meringues à l’intérieur pour qu’elles sèchent.

Laver les fraises et les couper en deux.

Monter la crème bien froide en chantilly à l’aide d’un batteur en ajoutant le sucre glace. Quand elle est montée, ajouter le cacao et remuer très peu, à l’aide d’une cuillère, afin d’obtenir des marbrures dans la chantilly.

Répartir la chantilly au centre de chaque meringue. Disposer les fraises coupées en deux, ajouter un filet de confiture de lait et décorer avec des petits vermicelles ou autre.

Je conseille de laisser au frais une heure ou deux, pour que la garniture apporte du moelleux à la meringue.

 

jeudi 4 avril 2013

Parmentier de confit de canard aux deux purées



Bon, j’avoue, le titre n’est pas très vendeur…  J’aurais pu dire « parmentier bicolore » ou « sandwich de confit en camaïeu de purée », mais ça ne sonnait pas beaucoup mieux…

Donc, des photos expliquant mieux que des mots, j’espère que vous allez pouvoir saisir le concept… Comme vous pouvez le constater, à l’instar de la crêpe Gigi, le canard est ici accompagné dessus-dessous de deux purées, pour un maximum de plaisir gustatif !


Je suis fan absolue du confit de canard et je pourrais en manger matin, midi et soir… En version parmentier, c’est encore meilleur et je vous ai déjà proposé quelques versions bien gourmandes de ma faiblesse palmipède…
Cette fois-ci , j’avais envie d’un parmentier chic et esthétique, tout en restant aussi délicieux que le mérite le confit de canard qui le compose…

Le résultat était à la hauteur de mes espérances, c’était fabulous !


Pour 4 personnes

- 3 à 4 cuisses de canard confit
- 4 échalotes
- 5 belles pommes de terre
- huile d’olive
- ciboulette
- 4 carottes
- une pincée de cumin en poudre
- 25 cl de lait

Préparer les purées.
Eplucher les pommes de terre et les couper en dés grossiers.
Faire de même avec les carottes, et les couper en rondelles.

Cuire séparément dans deux grand volumes d’eau salée pendant environ 30 à 40 minutes (jusqu’à ce qu’une pointe de couteau  s’enfonce facilement dans la chair).

Pendant ce temps, effilocher les cuisses en détachant la chair des os. Conserver un peu de graisse de canard qui accompagne les cuisses.
Eplucher et ciseler les échalotes.

Dans une poêle,  chauffer une à deux cuillères de graisse et faire revenir les échalotes quelques instants. Ajouter alors les miettes de confit et bien faire sécher en remuant assez régulièrement.

En parallèle, égoutter les légumes et les écraser grossièrement à l’aide d’un presse-purée.
Répartir le lait équitablement dans les deux purées. Ajouter huile d’olive et ciboulette à l’écrasée de pomme de terre et cumin à cette de carotte. Assaisonner de fleur de sel et poivre du moulin.

Dresser alors les assiettes.

A l’aide d’un cercle posé au milieu de l’assiette, déposer une cuillère à soupe ou deux de purée de pomme de terre et bien tasser.
Ajouter une part généreuse de miettes de confit.

Répartir ensuite de l’écrasée de carottes et lissant bien la surface.

Retirer délicatement le cercle. Décorer d’un brin de cerfeuil et procéder de la même manière avec les trois autres assiettes.
Servir immédiatement.

 

S’il vous reste des ingrédients, les répartir de la même manière dans un plat à gratin et réserver.
Passé au four additionné de fromage râpé, c’est délicieux également. 

lundi 1 avril 2013

Macarons de Pâques (ganache au chocolat noir et à la confiture de lait)



Bonsoir mes petits lecteurs ! En cette fin de week-end de Pâques qui fut chargé d’émotion pour moi, je tenais à partager avec vous ces petits macarons un peu différents mais qui ont rencontré un grand succès : des petits nids de Pâques que je me suis beaucoup amusée à réaliser !


L’histoire commence en milieu de semaine, lorsque je découvre chez Amuse Bouche, un site que j’apprécie énormément pour la gourmandise de ses recettes et la qualité de ses photos, cet article

J’ai eu un véritable coup de cœur pour ces adorables petits nids que j’imaginais très gourmands et je n’ai plus pensé qu’à ça : essayer à mon tour de faire ce type de macarons pour les nombreux convives que j’attendais pour le week-end !

 

Cette petite session macaron a également été l’occasion de tester la configuration de ma nouvelle cuisine pour une telle mission qui se présente toujours comme un micro challenge, d’autant plus que je dispose de nettement moins de surface de plan de travail qu’avant…

Mis à part un petit quart d’heure « arrachage de cheveux » lorsque je me suis rendue compte, une fois toute ma cuisine en bordel, que je n’arrivais pas à mettre la main sur la sonde de mon thermomètre de cuisson, que je n’avais pas revu depuis le déménagement, tout s’est passé à merveille !… Lorsque cette coquine a été retrouvée en haut du frigo (quelle idée d’aller se planquer là-haut franchement!!), le reste s’est déroulé sans encombre et c’est avec beaucoup de plaisir que j’ai réalisé ces macarons de Pâques…


Au niveau de la ganache, Pâques oblige, j’ai réalisé une ganache au chocolat noir et au dulce de leche qui était parfaite, tant en terme de consistance que de goût, assez prononcé en chocolat, mais laissant ensuite découvrir la gourmandise de la confiture de lait…

Vous l’aurez compris, ces macarons ont eu le succès qu’ils méritaient et moi, je me suis éclatée à les préparer !!



Pour 24 nids de 6-7 cm de diamètre (soit plus gros que mes macarons habituels)

Pour les coques :

- 200 g de poudre d’amande
- 200 g de sucre glace
- 2 x 75 g de blanc d’œuf à température ambiante
- 200 g de sucre en poudre
- 5 cl d’eau
- 1 pointe de couteau de colorant jaune (ou toute autre couleur printanière)

Pour la ganache chocolat noir-confiture de lait :

- 200 g de chocolat au lait
- 150 g de confiture de lait
- 10 cl de crème liquide

 Pour la décoration spéciale « Pâques »

- Des vermicelles alimentaires
- Des petits œufs de Pâques en chocolat enrobés



Préparer la ganache au chocolat

Casser le chocolat en petits morceaux et le déposer dans un saladier.
Dans une casserole, chauffer la crème.
En verser la moitié sur le chocolat en morceaux et laisser fondre 30 secondes.
Mélanger délicatement et ajouter le reste de crème. Remuer encore jusqu’à l’obtention d’une ganache lisse et brillante (au besoin, si tout le chocolat n’est pas fondu, remettre dans la casserole et chauffer à feu très doux en remuant).

Ajouter alors la confiture de lait et mélanger.

Réserver à température ambiante.


Préparer les coques

Mixer ensemble la poudre d’amande et le sucre glace au robot (type Magimix).
Tamiser ensuite le mélange obtenu dans un saladier.
Ajouter 75 g de blanc d’œuf et bien mélanger l’ensemble jusqu’à l’obtention d’une pâte d’amande épaisse. Réserver.

Dans une casserole, verser le sucre en poudre et l’eau et faire chauffer. (chercher partout la sonde du thermomètre en pestant contre soi-même et son cerveau de poisson rouge qui empêche de se souvenir où on range les choses !)
Surveiller la température à l’aide du thermomètre de cuisson enfin retrouvé et, lorsque le sirop atteint la température de 114°C, battre les 75 g de blanc d’œuf restants au batteur électrique à vitesse maxi dans un autre saladier.

Lorsque le sirop dans la casserole atteint 118°C, baisser la vitesse du batteur, couper le feu, retirer le thermomètre et verser sur les blancs en évitant les branches du batteur (sur une paroi du saladier).

Quand tout a été versé, rebattre à pleine vitesse et attendre le tiédissement de la meringue en continuant à battre plusieurs minutes. Ajouter le colorant en poudre.
Arrêter le batteur.

A l’aide d’une spatule, verser en deux à trois fois la meringue sur la pate d’amande en mélangeant bien entre chaque.

Commencer à « macaronner » ; mélanger la pâte avec la spatule en soulevant la masse, pendant plusieurs minutes, jusqu’à ce que la pâte forme un ruban lorsqu’on la soulève.

Remplir alors une poche à douille assortie d’une douille lisse de 8 mm.

Disposer des ronds de pâte de 6 cm de diamètre sur les plaques de pâtisserie recouvertes de papier sulfurisé.
Réaliser, sur des plaques distinctes des cercles non pleins (façon donut) du même diamètre qui serviront de partie supérieure du macaron. (Utiliser deux plaques car le temps de cuisson diffère légèrement).
Décorer les coques « trouées » avec des vermicelles ou du sucre de couleur.

Enfourner à four préchauffé à 160°C en chaleur tournante pour 14 minutes s’agissant des coques « normales » et 12 minutes pour celles avec le trou au centre.

Sortir les plaques du four, laisser refroidir avant de décoller délicatement les coques.


Déposer sur les coques « pleines » de la ganache à l’aide d’un sac congélation coupé dans un coin.
Fermer avec une coque « trouée » et disposer au centre 2-3 petits œufs de Pâques.

Réserver une nuit dans une boîte hermétique au frais…

J’ai également fait de gros macarons « normaux » que j’ai remplis de ganache avec, pour plus de gourmandise, une noisette de confiture de lait au centre… Il parait qu’ils déchiraient leur race (dixit ceux qui les ont goûtés !) ;-)